#3 Vivre avec et dans la nature … Une exigence à repenser

Il nous faut, aujourd’hui encore plus qu’hier, penser la manière dont nous pouvons réconcilier les enjeux économiques et sociétaux à notre relation aux autres espèces vivantes et aux milieux qui contribuent à nous faire vivre tous. Engager la puissance du travail dans une relation retrouvée avec la nature est une question majeure.

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Les pandémies, telles que le Covid-19, ont presque toutes pour origine la
destruction des milieux naturels et de la biodiversité qui s’opère au nom d’une
croissance industrielle démesurée induisant une exploitation sans fin ni finalité de la
nature. Cette dernière est réduite à l’état ressource. La contamination interpelle notre
mode de développement qui relève de logiques de massification apparues dès la fin
du XIXème siècle, et qui se sont généralisées avec la globalisation et la domination
de la finance de marché à l’échelle planétaire.
Il nous faut, aujourd’hui encore plus qu’hier, penser la manière dont nous pouvons
réconcilier les enjeux économiques et sociétaux à notre relation aux autres espèces
vivantes et aux milieux qui contribuent à nous faire vivre tous. Engager la puissance
du travail dans une relation retrouvée avec la nature est une question majeure.

Sommaire

  • Sortir de la culture de la « maîtrise de la nature »
  • L’économie industrielle, un rapport mortifère aux ressources naturelles et au
    travail : « le travail mort »
  • Comment changer concrètement de perspective ?
  • Le grand repli face à la pandémie : la révélation d’un paradoxe

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